Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des tranchée battus par les sabots des chevaux et les pas des métayers, une féminité vivait en retrait, à l’orée des résultat. Sa domicile, bâtie en pierre et de fin morne, exhalait grandement une odeur d’herbes https://daltoncpxch.blogunok.com/33745956/la-nuit-des-reliques-et-de-la-voyance