La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son gagne-pain dans l’ombre tamisée de son atelier. Son activité professionnelle à enjoliver, fidèle animal domestique de ses voyances silencieuses, laissait changer des fils d’or et de soie entre ses doigts. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque vivant, tels que https://hectorzhlno.dsiblogger.com/66797617/l-étoffe-du-destin