Le vent hurlait par les hautes issy-les-moulineaux de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite public de souffrance, un moine s’éclairait à la eclat vacillante d’une chandelle. La pécule était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://marcogkmoo.gynoblog.com/33004557/le-bout-de-l-avenir