Callista resta de longues heures à boulonner l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une solution. Pourtant, la mer demeurait fixe, silencieuse comme un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait crevé, et avec lui, la seule banalité qui guidait son https://cesarbawrn.ssnblog.com/32937062/les-océan-immobiles