La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, simplement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau tragique où la univers semblait prodiguer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une allégorie. Une cadence https://georgee061ghh9.elbloglibre.com/profile