Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du sobriquet d’Orhan découvrit un modèle singulier parmi ses neuves acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en fin, obscur et finement ouvragé, orné d'ornements indéchiffrables qui semblaient danser sous la clarté des lampes à huile. Aucun souvenir de l’avoir acheté, https://josuecscin.pointblog.net/le-coffret-aux-reves-volés-77512856