Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son rite, attendait que l’obsidienne parle à avant-gardiste. La pierre noire semblait absorber la lumière sélénite, vibrer sous la pression du vent, et assez fréquemment, sans informer, elle résonnait de cette voix https://codynkgcv.mpeblog.com/59401294/les-empreintes-effacées