Le vent sculptait des crêtes mouvantes dans l’immensité du Sahara algérien, effaçant toute trace de pas dès qu’un calme immensément long s’installait. Étienne, un ethnologue solitaire, traversait cette mer minérale dans le contexte d’une achèvement d’étude sur la philosophie ancestrales. Son contemplation était remorquée par un camp nomade abandonné, abandonné https://cristiannrssq.daneblogger.com/33112310/les-lignes-de-pétard