La station polaire, utilisée pour tenir aux chocs climatiques extrêmes, vibrait imperceptiblement par-dessous les courants soudains qui agitaient l’air saturé d’humidité. À l’intérieur, les miroirs rassemblant le dispositif de lecture s’étaient déplacés doucement simultanément la nuit, sans intervention de l'homme ni mouvement de l’atmosphère mesurable. Le voyant, en se levant, https://augustvgqyh.gynoblog.com/33242854/le-polyèdre-dormant