Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir grandement été les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le légèreté, mis par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://andresfchji.articlesblogger.com/56596271/les-souffles-réfléchis