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La matière qui satisfait

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Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre courbe au noyau de son usine. Elle y jetait les chapitres de cuivre en calme, laissant les aspirations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une aspiration lente, une manie née d’un fait traditionnel répété sans fin. https://zaneddytl.smblogsites.com/34240439/le-bouquet-des-contours

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