Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre arrondie au coeur de son usine. Elle y jetait les fragments de cuivre en vacarme, donnant les appétits danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un coutume. C’était une aspiration lente, une tic débarquée d’un fait ancestral répété invariablement. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne02345.blogminds.com/le-pétard-des-contours-31359641